mardi 13 septembre 2011

LES MORONS DE MORONRÉAL CASSENT LEURS CHAÎNES AU PEPS DE L'UNIVERSITÉ LAVAL : LA POLICE DOIT INTERVENIR...


Samedi dernier, sur le campus de l'Université Laval à Québec, au cours du "tailgate party" précédant le match de football entre les Carabins de Montréal et le Rouge et Or, une cinquantaine de morons de Mourial ont cherché le trouble en abreuvant d'injures et d'invectives les partisans de l'équipe locale. Manifestement aussi ivres qu'idiots, ils se sont amusés à provoquer les gens de Québec pendant toute la rencontre qui s'est soldée par une autre victoire du Rouge et Or. Bien entendu ! Grossiers et dégoûtants, ils en ont un peu trop fait en troublant l'ordre public. Ce qui a entraîné l'intervention de la police. Nettement plus intelligents et civilisés que cette bande de sauvages déshonorant encore une fois leur bidonville, les Québécois de la vieille capitale n'ont pas répliqué à leurs attaques verbales. Ça ne valait pas la peine de s'abaisser à leur niveau d'insignifiance. Mais il y a un ou deux gars de Québec qui ont failli perdre patience et entrer dans le petit manège des provocateurs de la métropauvre. C'est ce que désirait ces derniers.



Sur le terrain, le club de l'Université Laval a encore imposé sa loi devant les éternels perdants moronréalaids. Le quart-arrière des petites carabines de l'Université de Mourial a été malmené par les gros canons de l'unité défensive du Rouge et Or. Nul doute qu'il gardera un souvenir douloureux de son passage dans la capitale nationale. Le pauvre jeune homme a été rabattu et battu comme une guenille. Il est passé tout entier dans le moulin à viande de l'extraordinaire défensive de Laval. Quant aux partisans des "losers" bleus, ils ont exprimé de la pire façon leur frustration en se couvrant de ridicule et en passant encore pour des colons. Je dis souvent que le seul point positif du départ des Nordiques en 1995, c'est que les gens de Québec ne voyaient plus les arrogants et imbéciles fefans du CH au Colisée de Québec. Voilà maintenant que l'on est obligé de "subir" leurs descendants bipolaires, des Carabins, au PEPS de l'Université Laval. Soyons justes cependant, beaucoup de partisans des Bleus ont déclaré qu'ils avaient honte de cette horde de hooligans de pacotille. La prochaine fois, pourquoi les policiers de Québec ne leur passeraient pas les menottes pour les amener faire du camping en prison...




Je n'aime pas Montréal. Je n'y vais pas à moins d'y être obligé. Ce qui est extrêmement rare. Lorsque ça arrive, je me comporte un homme civilisé. Pas comme un barbare. Même chose quand je suis à New York ou ailleurs. Il y a quelques années, je visitais le quartier de la bourse, sur Wall Street, dans le cadre d'un projet scolaire. Sur un coin de rue, parmi les passants, il y avait un pauvre homme, de race noire, accroupi aux pieds d'un homme d'affaires visiblement fort riche, à en juger par sa tenue vestimentaire impeccable. L'homme de couleur, la tête et les yeux baissés, cirait les chaussures du blanc opulent. Mon voisin et compagnon de classe, un gars de Verdun, voulant immortaliser la scène, braqua l'objectif de son appareil photo en direction du cireur de chaussures. Celui-ci réagit vivement en se voilant le visage et en manifestant son désaccord d'être pris en photo. Je mis ma main sur le bras du photographe effronté en lui disant : "ne fait pas ça, ne l'humilie pas". Ce n'était pas un chien après tout. L'eut-il été qu'on l'aurait mieux traité. Au moins il avait le coeur de travailler pour gagner sa vie. Ça mérite le respect. Contrairement aux dizaines de milliers de BS de Mourial qui vivent au crochet de la société. Alors les morons des Carabins, si vous ne connaissez pas la politesse, si vous tenez absolument à montrer que vous êtes mal élevés, ou que vous êtes des trous de cul, allez faire les caves ailleurs, ou restez dans votre trou sale au lieu de venir à Québec nous écoeurer... Pour paraphraser une déclamation célèbre inscrite sur un mur du Grand Théâtre de Québec : "vous êtes pas tannés de venir voir perdre votre équipe dans la capitale, bande de caves !"


mercredi 27 juillet 2011

TOURNOI INTERNATIONAL DE VOLLEYBALL DE PLAGE : QUÉBEC DAME LE PION À MOURYIAL...


Pendant que Mouryial continue de perdre des plumes avec ses problèmes d'infrastructures, de pollution et de corruption, la ville de Québec, elle, ajoute de belles plumes à son chapeau.  La dernière en lice étant le franc succès remporté il y a quelques jours par le premier Open International de Volleyball de plage de Québec.  La population de la vieille capitale a répondu en grand nombre et avec enthousiasme à la présentation de cet évènement spectaculaire et haut en couleurs.  Il y a quelques années, l'ancienne administration municipale voulait miser surtout sur la nordicité de Québec pour la mettre sur la carte internationale.  Une approche limitée que l'administration Labeaume a fait voler en éclats !  Québec est aussi une ville d'été et de plage !  La preuve c'est que lors du tournoi de beach volley, la Grande Allée s'est transformée en plage baignée dans une chaleur caniculaire !  Quel beau prolongement pour un Festival d'Été qui venait de se terminer et qui a été tout à fait inoubliable encore cette année.  Un succès populaire tellement fort que l'on a vu des responsables d'activités culturelles de Mourial venir à Québec pour essayer de découvrir les secrets derrière cette réussite incroyable, notamment en ce qui concerne le contrôle de foules immenses...  Il est vrai que Mourial a beaucoup à apprendre de Québec, notamment en ce qui concerne la civilité et le savoir-vivre.  De plus en plus de moronréalaids ont mal à leur bidonville et ils en ont honte.  Oh, il y a encore une grande majorité d'arrogants et de prétentieux dans la métropauvre, mais ils commencent à rire jaune depuis que les gens d'ailleurs n'en finissent plus de se moquer d'eux et de leur capitale mondiale de la punaise de lit !




Mais il vaut mieux se concentrer sur du positif.  Il vaut mieux parler de Québec, dont les "actions" sont définitivement à la hausse, contrairement à celles de la pauvre île du maire Gilligan Tremblay, perdue dans le smog des gaz d'échappement de milliers de véhicules bloqués sur des ponts et un réseau routier en ruines.  Que les montréalais doivent avoir hâte aux vacances pour fuir cet enfer !  S'ils viennent à Québec, ils pourront enfin respirer du bon air et se détendre dans un cadre enchanteur.  Revenons au sujet principal de cet article, le fameux tournoi de volleyball de plage de Québec qui a encore permis de prouver la compétence, le dynamisme et le savoir-faire des organisateurs et des promoteurs hors pair de cet évènement, et j'ai nommé Jacques Tanguay, Yves Cinq-Mars et Claude Rousseau.  Ils ont été appuyé par d'autres hommes d'affaires comme Pierre-Karl Péladeau et des bénévoles bien dirigés qui ont fait un travail du tonnerre.  Le tout sous le leadership de l'enthousiaste maire Régis Labeaume qui a le tour de faire bouger sa ville contrairement à ce que pensent les défaitistes défaits de la métropauvre qui parlent toujours à travers leur chapeau percé en gueulant qu'il ne se passe jamais rien d'intéressant à Québec !  Il faut souligner que de 2005 à 2007, les moronréalaids ont échoué lamentablement en présentant ce tournoi de volleyball de plage au Stade du Parc Jarry.  Ça s'est terminé dans une mare géante d'encre rouge.  Un flop monumental, un rappel de l'échec scandaleux des olympiques de 1976, de la perte des Expos, de celle du Grand Prix du Canada de course de F-1 (récupéré par la suite grâce à l'argent des contribuables québécois), des faillites répétées des clubs de hockey junior à MortYial, des difficultés éprouvées il y a quelques années lors d'un championnat mondial de natation et de l'incapacité d'organiser le moindre championnat de hockey, ne serait-ce qu'au niveau junior.  




À Québec, les efforts des responsables de l'organisation de ce premier Open de beach volley ont été récompensés au-delà de leurs espérances malgré des problèmes de logistique qui ont été résolus et qui n'ont ainsi pas pu empêcher les terrains du Séminaire des Pères maristes et de l'Externat Saint-Jean-Berchmans (situés à Sillery) de se transformer en un site propice à des compétitions de haut niveau.  Résultats concrets : ni plus ni moins qu'un record d'assistance pour une Coupe du monde de volleyball de plage du circuit de la FIVB (plus de 30 000 spectateurs, et tous les matchs disputés à guichets fermés durant les trois derniers jours des compétitions); des athlètes enchantés de leur séjour chez nous (plusieurs ont soutenu que le Québec Open était le meilleur premier tournoi de tous ceux auxquels ils avaient participé à travers le monde); des commerçants réjouis qui sont conscients du potentiel énorme que cet évènement pourrait avoir pour favoriser leurs affaires dans le futur.  Ce n'était qu'une première édition, avec tout le défi que cela comportait.  On pourra faire encore mieux l'an prochain.  Les responsables de la Fédération Internationale ont été séduits et convaincus par la performance des gens de Québec, et ils parlent déjà de faire de la cité de Champlain le site d'une étape de grand chelem de leur circuit.




Mieux encore que ce bilan positif, les jeunes de Québec, qui ont découvert ce sport bien plus captivant que le spectacle terne et ennuyant offert par les Canailliens de Mourial, ont le goût de le pratiquer.  Tellement que le maire Labeaume désire que certains terrains, qui ont servi pour le tournoi, soient préservés afin de permettre à la population d'y jouer.  Encourager la pratique des sports a toujours fait partie des objectifs du premier magistrat de la capitale des francophones d'Amérique.  Labeaume est résolument un partisan de la devise "un esprit sain dans un corps sain".  Ce qui contraste avec les imbéciles de la métropauvre qui font des émeutes après une défaite ou une victoire de leur club de broches à foin en séries éliminatoires de hockey.  Également impressionné par la façon dont les organisateurs du tournoi ont fait de cet évènement une belle vitrine internationale pour la ville de Québec, le président du groupe Quebecor, Pierre-Karl Péladeau, a déclaré : «Ce qui est intéressant, c'est que cet évènement est diffusé dans probablement 20 pays.  C'est impressionnant.  C'est première classe, et je me réjouis pour Québec.»  Ouais !  Bravo Québec.  Québec sait faire et Mourial est encore défaite (et de plus en plus synonyme de défaite)...  Voici quelques images belles à voir de ce Québec Open mémorable.  Elles sont accompagnées du tube numéro mondial de Adele, Running in the deep...               


   

samedi 9 avril 2011

MOURIAL S'ENFONCE ENCORE DAVANTAGE DANS LA MISÈRE ET LA CRASSE...


C'est le printemps ! Mais au Québec, l'hiver s'attarde toujours un peu plus longtemps avant que la nature renaisse. Dans la métropauvre, au début du mois d'avril, les bancs de neige fondent pour mieux laisser voir la malpropreté et la laideur de la ville. C'est le pire temps de l'année. MortYial est nue et biscornue. Plus de neige blanche et pas encore de verdure pour cacher un peu son état lamentable. Les détritus, les déchets, les tas d'immondices, les corps morts semblent sortir de terre et présentent leur apparence hideuse aux moronréalaids ou aux visiteurs de passage.



C'est à ce moment-là que la négligence des propriétaires d'immeubles et de logements insalubres de Mourial se manifeste au grand jour. Plusieurs terrains à proximité de ces bâtisses ressemblent à des dépotoirs à ciel ouvert. Surtout dans le coin de l'arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, là où règnent les cochons et la désolation. Vidanges domestiques, sacs de plastique, morceaux de vitre, pneus, contenants de peinture, débris de toutes sortes jonchent le sol, un peu partout. Quel beau spectacle ! Comment se fait-il que les citoyens qui s'aperçoivent de cette situation intolérable ne la dénoncent pas et ne se plaignent pas aux autorités municipales ? Comment ceux qui vivent dans cette souille à cochons acceptent-ils ces conditions dégueulasses ? Comment peut-on être aussi peu civilisé ? Les piétons moronréalaids sont également assez répugnants merci ! Lorsqu'ils crachent par terre, ou qu'ils lancent leur gomme à mâcher et leurs mégots de cigarettes partout sur les trottoirs et la chaussée, ils montrent comment ils peuvent être colons. Les policiers ont commencé à leur donner des contraventions pour leur manque de savoir-vivre, mais ce n'est pas demain la veille qu'ils vont régler le problème de ces sans-génie.



D'habitude, au mois d'avril, passé les grands froids de l'hiver, le nombre d'itinérants diminue dans les refuges pour sans abri de la ville. Pas cette année ! C'est le phénomène contraire qui se produit. L'achalandage est exceptionnel... Du jamais vu, selon l'Agence de la santé et des services sociaux ! Situation identique chez les organismes qui servent "la soupe populaire". Même s'ils sont trop nombreux et trop difficiles à compter, on estime qu'il y a maintenant 30 000 sans abri dans la métropauvre de Gérald Tremblay. C'est une augmentation de 5 % chez les hommes miséreux et de 30 % du côté des femmes en détresse. Ces dernières sont en bonne partie victimes de violence, et elles souffrent de diverses maladies mentales. Beau portrait ! Les refuges d'urgence débordent (taux d'occupation sans précédent de 110 % !) de ces personnes, qui ressemblent souvent à des loques humaines. Faute de place, les responsables de ces refuges doivent refuser des démunis enfoncés dans cette misère épouvantable. Face à ce drame, l'Agence de la santé et des services sociaux n'a eu d'autre choix que de prolonger pour encore un mois, jusqu'au 30 avril, le financement des places d'hébergement d'urgence prévues pour la période hivernale.


Pauvres mourialaids, avant de faire les fanfarons en venant dans nos régions ou dans nos villes pour nous traiter de villageois colons et arriérés, occupez-vous donc de soulager la misère et le désespoir qui inondent votre bidonville sale et abject. C'est avec honte, et en rougissant, qu'on vous regarde de loin. Le plus loin possible ! Ne venez pas chez nous si c'est juste pour nous écoeurer. Déjà que vos gangs de rues ont commencé à criminaliser nos quartiers et sont responsables de plus en plus d'incidents violents et déplorables dans nos lieux publics et nos établissements commerciaux...