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LES MORONS DE MORONRÉAL CASSENT LEURS CHAÎNES AU PEPS DE L'UNIVERSITÉ LAVAL : LA POLICE DOIT INTERVENIR...
Samedi dernier, sur le campus de l'Université Laval à Québec, au cours du "tailgate party" précédant le match de football entre les Carabins de Montréal et le Rouge et Or, une cinquantaine de morons de Mourial ont cherché le trouble en abreuvant d'injures et d'invectives les partisans de l'équipe locale. Manifestement aussi ivres qu'idiots, ils se sont amusés à provoquer les gens de Québec pendant toute la rencontre qui s'est soldée par une autre victoire du Rouge et Or. Bien entendu ! Grossiers et dégoûtants, ils en ont un peu trop fait en troublant l'ordre public. Ce qui a entraîné l'intervention de la police. Nettement plus intelligents et civilisés que cette bande de sauvages déshonorant encore une fois leur bidonville, les Québécois de la vieille capitale n'ont pas répliqué à leurs attaques verbales. Ça ne valait pas la peine de s'abaisser à leur niveau d'insignifiance. Mais il y a un ou deux gars de Québec qui ont failli perdre patience et entrer dans le petit manège des provocateurs de la métropauvre. C'est ce que désirait ces derniers.
Sur le terrain, le club de l'Université Laval a encore imposé sa loi devant les éternels perdants moronréalaids. Le quart-arrière des petites carabines de l'Université de Mourial a été malmené par les gros canons de l'unité défensive du Rouge et Or. Nul doute qu'il gardera un souvenir douloureux de son passage dans la capitale nationale. Le pauvre jeune homme a été rabattu et battu comme une guenille. Il est passé tout entier dans le moulin à viande de l'extraordinaire défensive de Laval. Quant aux partisans des "losers" bleus, ils ont exprimé de la pire façon leur frustration en se couvrant de ridicule et en passant encore pour des colons. Je dis souvent que le seul point positif du départ des Nordiques en 1995, c'est que les gens de Québec ne voyaient plus les arrogants et imbéciles fefans du CH au Colisée de Québec. Voilà maintenant que l'on est obligé de "subir" leurs descendants bipolaires, des Carabins, au PEPS de l'Université Laval. Soyons justes cependant, beaucoup de partisans des Bleus ont déclaré qu'ils avaient honte de cette horde de hooligans de pacotille. La prochaine fois, pourquoi les policiers de Québec ne leur passeraient pas les menottes pour les amener faire du camping en prison...
Je n'aime pas Montréal. Je n'y vais pas à moins d'y être obligé. Ce qui est extrêmement rare. Lorsque ça arrive, je me comporte un homme civilisé. Pas comme un barbare. Même chose quand je suis à New York ou ailleurs. Il y a quelques années, je visitais le quartier de la bourse, sur Wall Street, dans le cadre d'un projet scolaire. Sur un coin de rue, parmi les passants, il y avait un pauvre homme, de race noire, accroupi aux pieds d'un homme d'affaires visiblement fort riche, à en juger par sa tenue vestimentaire impeccable. L'homme de couleur, la tête et les yeux baissés, cirait les chaussures du blanc opulent. Mon voisin et compagnon de classe, un gars de Verdun, voulant immortaliser la scène, braqua l'objectif de son appareil photo en direction du cireur de chaussures. Celui-ci réagit vivement en se voilant le visage et en manifestant son désaccord d'être pris en photo. Je mis ma main sur le bras du photographe effronté en lui disant : "ne fait pas ça, ne l'humilie pas". Ce n'était pas un chien après tout. L'eut-il été qu'on l'aurait mieux traité. Au moins il avait le coeur de travailler pour gagner sa vie. Ça mérite le respect. Contrairement aux dizaines de milliers de BS de Mourial qui vivent au crochet de la société. Alors les morons des Carabins, si vous ne connaissez pas la politesse, si vous tenez absolument à montrer que vous êtes mal élevés, ou que vous êtes des trous de cul, allez faire les caves ailleurs, ou restez dans votre trou sale au lieu de venir à Québec nous écoeurer... Pour paraphraser une déclamation célèbre inscrite sur un mur du Grand Théâtre de Québec : "vous êtes pas tannés de venir voir perdre votre équipe dans la capitale, bande de caves !"
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